L’immobilier est un marché diversifié et bien lucratif. Généralement, ce sont deux raisons qui poussent les particuliers à s’intéresser à ce marché volatile. Il s’agit parfois de trouver un logement et d’autres fois de se construire un patrimoine tangible et durable. Toutefois, pour réussir un projet dans le domaine de l’immobilier peu importe la nature du projet, il faut tout au moins disposer de quelques compétences pour pouvoir réaliser des plus-values. C’est d’ailleurs la raison d’être de la loi ALUR.
Que dit la loi ALUR ?
La loi ALUR a été portée par la ministre Cécile Duflot sous la présidence de François Hollande. Elle a été adoptée le 24 mars 2014. Cette loi a été votée pour protéger tous les acteurs du monde de l’immobilier. Elle vise à améliorer la situation permettant de délivrer et de renouveler les cartes de profession. Cette loi stipule en effet que tous les acteurs de l’immobilier doivent suivre une formation couvrant une période de 3 ans d’exercice.
Les acteurs indexés par la loi ALUR
Les acteurs de l’immobilier touchés par la loi ALUR sont ceux qui disposent d’une carte de profession d’agent immobilier. Lorsqu’il s’agit d’une entité, la loi ALUR exige que son représentant légal suive la formation. Aussi, cette formation est destinée à tous les professionnels liés de prêt ou de loin au marché de l’immobilier.
Les formations impliquées par la loi ALUR
Un point notable des formations suivies par les agents de l’immobilier est le mise à niveau des connaissances antérieures. Un point est réalisé sur le niveau de chaque professionnel par rapport à l’état actuel du marché et à ses exigences en matière de compétences aguerries. De plus, ces professionnels ont la possibilité de suivre des cours de langue et de gestion management.